L’astro-géométrie, ou un champ d’étude vide
Article mis en ligne le 15 février 2021

par Alexis Seydoux

Dans une nouvelle vidéo, M. Quentin Leplat entend développer un nouveau champ de la recherche archéologique, l’astro-géométrie [1]. Depuis la naissance de l’archéologie, de nombreux champs nouveaux ont émergé : archéologie funéraire, archéologie urbaine, etc… L’arrivée de la New Archaeology dans les années 1960 et de l’archéométrie dans les années 1980 ont ouvert de nouvelles approches et de nouvelles méthodes [2]. Selon l’auteur, ce nouveau champ d’étude modifierait en profondeur les connaissances que nous avons des sociétés du passé, au même titre que l’archéoastronomie [3]. En revanche, il s’étonne que les archéologues et les historiens ne se soient pas emparés de ce champ et que les chercheurs amateurs ne se servent pas beaucoup de cette méthode, malgré leurs publications [4]. Nous allons voir pourquoi.

Ce champ nouveau s’appuie pourtant sur des travaux anciens, ceux de Félix Gaillard et de son ouvrage Astronomie préhistorique [5], publié en 1897. M. Leplat rappelle que ces travaux n’ont, à l’époque, pas suscité l’adhésion de la communauté archéologique. En effet, Félix Gaillard a mis en avant non seulement l’orientation des sites mégalithiques, mais également leur alignement sur des constellations [6]. L’archéologue et restaurateur constitue alors une série d’index de ces constellations. C’est cette notion d’index qui n’a pas été acceptée par les autres archéologues, essentiellement par manque de fondements et de sources [7]. Les théories de Félix Gaillard ne sont pas reprises uniquement par M. Leplat, mais par plusieurs chercheurs alternatifs qu’il cite, comme Pierre Coussy et Éric Charpentier [8]. Mais, celui qui semble être la figure de proue de ce champ d’étude est Howard Crowhurst. Ce dernier a écrit des ouvrages et dispose d’un site internet, Epistemea, à partir duquel il vend notamment ses conférences en DVD et ses ouvrages [9]. Seuls deux articles apparaissent en ligne. L’ouvrage qui semble présenter ses hypothèses est Mégalithes, principes de la première architecture monumentale du monde [10]. Mais, M. Crowhurst n’a pas publié d’article permettant de comprendre sur quoi se fonde ce champ. C’est donc à M. Quentin Leplat de préciser la pensée de l’astro-géométrie, ce qu’il se propose de faire dans cette vidéo sur YouTube.

Nous allons voir en quoi le nouveau champ ainsi mis en avant par M. Quentin Leplat n’apporte rien, ni en méthode d’études sur les civilisations anciennes, ni dans l’étude de l’archéologie elle-même. Nous montrerons en quoi il confine en réalité à une croyance plus proche de la numérologie que de la science.

Nous verrons d’abord que les hypothèses de M. Leplat ne sont en rien nouvelles, puis, que sa méthode ne s’appuie sur aucune donnée de terrain et enfin que les questions qu’il pose sont en fait déjà abordées par d’autres champs des sciences historiques.

D’emblée, M. Quentin Leplat explique que son nouveau champ d’étude bousculerait l’archéologie autant que l’archéoastronomie en son temps. Rappelons que l’archéoastronomie est un nouveau champ de l’archéologie qui, comme l’explique Karine Gadré, combine deux disciplines, l’archéologie et l’astronomie, et « consiste en l’étude de l’orientation ou du contenu astronomiques de vestiges archéologiques » [11]. Il est vrai que cette discipline a mis du temps à être acceptée par les archéologues, notamment du fait du manque de données tangibles, de la difficulté de leurs interprétations, mais également du manque de connaissance en astronomie des archéologues. Les travaux de Clive Ruggles et la publication sous sa direction des trois volumes de son Handbook of Archeoastronomy and Ethnoastronomy ont permis de poser les bases de ce champ d’étude [12]. Des travaux dans cette branche sont publiés, comme ceux de Giulio Magli pour l’Égypte [13]. Mais, contrairement à ce qui est affirmé ici, l’archéoastronomie n’a pas bouleversé l’archéologie ; elle s’est inscrite à l’intérieur de celle-ci. Pour une raison qui est simple, c’est que l’archéologie est avant tout l’étude des sociétés anciennes à travers leurs restes matériels ; et que les sociétés anciennes ne se fondent pas uniquement sur leur rapport au ciel, mais aussi au terrain, au relief [14]. Ainsi, l’archéoastronomie apporte de nouvelles données sur la connaissance des sociétés anciennes, mais ne bouleverse pas nos connaissances.

De même, M. Leplat nous indique que son champ d’étude astro-géométrique est une nouveauté, tout en insistant sur le fait qu’il se fonde sur les travaux de Félix Gaillard. M. Félix Gaillard est connu pour ses restaurations sur les sites mégalithiques bretons à la fin du XIXe siècle [15]. Son travail sur l’astronomie préhistorique, Astronomie préhistorique, a été publié en 1897 [16]. Ces études ont été complétées par Norman Lockeyer sur le site de Stonehenge [17], ou encore par Alfred Devoir et Marcel Baudouin sur les sites mégalithiques français. Pour ces auteurs, une partie des sites mégalithiques sont avant tout des observatoires célestes. Ainsi, comme l’indique Alfred Devoir, dans une note, « avant 1895, l’archéologue morbihannais Félix Gaillard avait eu l’intuition de la destination astronomique des grands alignements de la région de Carnac : sa conception hasardeuse des “index” lui masqua la solution du problème qu’il aurait pu résoudre. Aux repères solaires entrevus par lui : levers solaires au solstice d’été et aux équinoxes, les travaux de l’astronome anglais Norman Lockeyer et les miens ajoutèrent peu après (1901-1902) la notion de trois nouveaux repères et de la définition des jalonnements par l’ensemble du monument, sans intervention “d’index” plus ou moins douteux » [18]. Le même auteur estime que ces travaux fondent l’astronomie solaire ; en revanche, il estime à cette époque que les données stellaires, si elles sont « astronomiquement inattaquables, resteront toujours à l’état de simples hypothèses (…) » [19]. Comme on le voit, et contrairement à ce qui est affirmé, le rapport entre l’astronomie et les cultures anciennes a été étudié depuis longtemps. Simplement, ce que déplore Alfred Devoir, dans l’article cité, c’est l’usage de ses mesures par Félix Gaillard, et notamment la création d’index qui ne repose pas sur d’autres sources. Ainsi, le problème mis en avant et non accepté par les archéologues n’est pas l’étude des orientations, ou même l’idée qu’il existe des choix volontaires d’orientation ou d’observation du ciel, mais uniquement ce qui en est conclu.

Dolmen de Port-Blanc
D’après Félix Gaillard et photo Guyodo.

Donc, comme nous le voyons, et contrairement à ce qui est affirmé en préambule dans cette vidéo de M. Leplat, l’astro-géométrie n’est ni récente, ni bouleversante pour l’ensemble de l’archéologie. Elle n’est pas non plus une approche nouvelle. Ce qui n’est pas accepté, ce n’est pas la question des orientations, mais les conclusions qui en sont tirées, car elles ne reposent pas sur des idées cohérentes.

Nous allons maintenant voir en quoi consiste la méthode préconisée par M. Leplat. Cette dernière ne repose que sur des observations de terrain et ne prend pas en compte les autres sources.

La méthode se révèle en fait très simple : il s’agit de voir si un site est aligné sur des phénomènes astraux jugés remarquables, essentiellement les levés du soleil aux équinoxes et aux solstices [20]. Une fois ces relevés effectués, il s’agit de relever les azimuths [21]. C’est la même collecte de données décrite par Alfred Devoir dans sa note, montrant ainsi que la méthode n’est pas récente [22].

Capture d’écran de la vidéo de M. Quentin Leplat

En revanche, ce qui la distingue des hypothèses anciennes, c’est l’usage de ces données. Pour Alfred Devoir, les observations des phénomènes solaires permettent aux populations mégalithiques de connaître les périodes de production agricole et de constituer avant tout un calendrier [23]. Mais, la méthode des astro-géomètres va plus loin : il s’agit d’adjoindre aux visées des formes géométriques simples, notamment des triangles rectangles ou des ensembles de carrés. Pour cela, il faut former à partir des angles issus de l’observation des diagonales. De ces traits, essentiellement dessinés à partir de Google Earth, M. Leplat tire tout un ensemble de nombres et de figures. Ainsi, à partir des deux chaussées reliant les temples funéraires des pyramides de Khéops et de Khéphren et d’un point de visée qui semble déterminé par l’auteur seul - la prolongation de ces deux chaussées au-delà des pyramides, M. Leplat nous explique qu’il existe ainsi un angle pour chacune de 14,035° et une somme de 28,07° ; pour l’auteur un axe de 28,07 degrés par rapport à l’axe permet de former un triangle 8/15/17, jugé par ce dernier de remarquable [24].

Mais, il va plus loin dans son interprétation et explique que cet angle correspond au lever du soleil le 14 février. Cette date couperait l’hiver en deux, en une partie de cinquante-cinq jours et une autre de trente-quatre jours, soit un total fait quatre-vingt-neuf. Et M. Leplat de nous expliquer la signification de ces chiffres : ce seraient trois nombres de la suite de Fibonacci [25]. C’est là que la méthode de M. Leplat semble très faible. En effet, en quoi la coupure de l’hiver en ces deux segments est signifiante ? Surtout, en quoi cela a-t-il un rapport avec l’Égypte pharaonique ? Rappelons que Leonardo Fibonacci de Pise est un marchand et mathématicien italien, né vers 1170, qui apprend les fondements des mathématiques médiévales, afin de les utiliser comme marchand [26]. Ce que Fibonacci apporte essentiellement, c’est de créer des outils mathématiques plus solides pour le commerce. Il met en avant la suite qui porte son nom afin de résoudre un problème, celui du nombre de lapins que l’on retrouverait dans un enclos au bout d’un an, si on y place un couple, et qui consiste à additionner les deux nombres précédents pour obtenir le suivant (n = n-1+n-2) [27].

Comme le rappelle Corinna Rossi, aucun document égyptien ne met en avant l’usage de la suite [28]. De plus, selon l’auteur, le quotient 55/34 donne le nombre d’or (en réalité 1,61764 alors que le nombre d’or est de 1,61803). De nouveau, on ne voit pas en quoi cela est signifiant pour l’étude de la civilisation égyptienne, d’autant que, comme le rappellent les spécialistes de la civilisation égyptienne, ces derniers ne connaissent pas le nombre d’or [29]. On a parfois des constructions complexes, comme 24,09° degrés, qui forme un rectangle dont le grand côté forme deux racines de cinq [30]. Les exemples sont ensuite appliqués sur des sites, et l’auteur met en avant des rapports géométriques sous forme de carrés (doubles, triples, plus importants). Un angle de 36,87° permet de former un triangle rectangle 3/4/5 [31].

Comme nous le voyons, la méthode de M. Leplat n’a pas pour objet de comprendre le fonctionnement des sociétés du passé, mais uniquement de créer des corrélations numériques. Et c’est bien là que se situe le problème essentiel de la soit-disant méthode mise en avant ici : elle n’a rien d’historique ou d’archéologique, elle n’est que de la numérologie. On a surtout le sentiment qu’il s’agit d’un empilement de chiffres sans signification. On est donc là dans une construction totalement théorique et anachronique qui associerait automatiquement des rapports avec des nombres en tout type, sans jamais se poser la question de savoir si ce rapport est signifiant ou s’il est conforme aux connaissances de l’époque. Et le problème essentiel est là : la méthode de M. Leplat s’appuie sur un empilement de nombres remarquables ; mais, il ne fait jamais le lien entre ses nombres remarquables et une quelconque signification. C’est comme si le simple fait de dégager un nombre « remarquable » était suffisant pour expliquer le fonctionnement des sociétés anciennes. Ces nombres remarquables ne sont, en réalité, qu’une suite numérologique dont l’intérêt n’est jamais démontré.

Ainsi, la méthode mise en avant consiste à partir de ces visées sur le terrain, d’y associer des figures géométriques et de considérer qu’il existe alors une corrélation. En revanche, rien n’indique jamais pourquoi cette corrélation est signifiante, car, comme nous l’avons vu, elle ne s’appuie sur aucune donnée de terrain, mais uniquement sur des interprétations des auteurs fondées sur des visées et des données dont on ne sait pas si les constructeurs les connaissaient.

Avec cette constatation, on comprend mieux pourquoi les archéologues et les historiens ne se servent pas de cette méthode.

Selon M. Leplat, sa méthode permet de révéler des connaissances géodésiques, astronomiques, mathématiques et scientifiques ; selon lui, la science ne peut expliquer cet anachronisme et il estime que les chercheurs ignorent ces faits. Il semble ainsi, sans que M. Leplat ne l’explique dans cette vidéo, qu’il existe des invariants existant en tout temps et en tous lieux. Pour l’auteur, les archéologues et les historiens boycottent ce champ d’étude [32], alors que, selon lui, il remet en cause toute la vision de l’Histoire et de l’archéologie [33]. C’est sans doute ici une ambition bien forte. Mais ce boycott – le terme est volontairement fort – n’a rien à voir avec un aveuglement des chercheurs. En effet, M. Leplat ne se situe absolument pas dans les sciences historiques, mais plutôt dans la numérologie.

D’abord, M. Leplat oublie certains fondements des sciences historiques. L’histoire et l’archéologie ont pour objet de comprendre les sociétés du passé ; pour la première, à travers les sources écrites, la seconde à partir des sources matérielles [34]. Or, l’approche de M. Leplat n’apporte aucune explication sur le fonctionnement des sociétés anciennes, mais uniquement des séries de chiffres et de figures géométriques.

De plus, M. Leplat n’apporte aucune source permettant de lier le positionnement des structures et les figures géométriques créées par ses vidées : aucun texte, comme un traité d’architecture ou un texte mathématique, n’est cité pour montrer que les corrélations créées par ces lignes ont un fondement intentionnel. Or, ni le Papyrus de Rhind, ni Vitruve, pour prendre deux exemples, ne mettent en avant de tels rapports mathématiques ou architecturaux. D’autant que, former à partir d’une diagonale quelconque, un double, un triple carré ou plus, n’a rien de significatif. M. Leplat ne nous explique jamais quelle règle ou quel système ces figures représentent. Il n’explique pas non plus pourquoi il y a là un double carré, là un triple. Tout ceci semble très aléatoire. Ainsi, aucune intentionnalité n’est démontrée.

Il nous semble que la seule hypothèse globale que M. Leplat met en avant, c’est la similitude entre deux structures, quelque soit leur usage, leur chronologie et leur situation géographique. Ainsi, dans cette vidéo, M. Leplat relie l’axe des chaussées égyptiennes avec le même axe du temple de Jupiter à Baalbek.

Temple de Jupiter à Baalbek

Si les axes sont les mêmes, en quoi existe-t-il un lien ? c’est ici que la méthode de M. Leplat semble dénuée de sens. En effet, un même axe de deux structures n’implique pas que ces deux structures aient de réelles relations entre elles. Mais, cela ne semble pas troubler M. Leplat. Reprenons cet exemple : les chaussées funéraires de Khéops et de Khéphren sont deux parties des ensembles funéraires des deux pharaons, construits au milieu du IIIe millénaire avant notre ère, et le temple de Baalbek est un temple romain dédié à Jupiter installé sur un site plus ancien. Les deux premières appartiennent à un ensemble funéraire, le second à un lieu de culte ; le premier appartient à l’Ancien Empire égyptien et le second au monde romain. Jamais M. Leplat ne montre qu’il existe entre les deux sites un lien.

Et même en essayant de montrer que l’on retrouve le même principe sur le temple de Baalbek, au Levant, on ne comprend pas les liens que l’auteur veut faire ressortir [35]. Enfin, l’auteur affirme que ces angles et ces visées ont des rapports avec des chiffres spécifiques, notamment Pi et Phi ; ces mesures auraient aussi des rapports avec des systèmes de mesure dont le yard mégalithique et la coudée royale [36].

Par ailleurs les archéologues qui travaillent sur les sites archéologiques, notamment les temples, admettent depuis longtemps que ces derniers sont orientés, notamment par rapport au soleil. Ils admettent également que certains sites sont directement des observatoires solaires [37].

En effet, les données sur les orientations ou l’usage du soleil dans les rites de fondation ou l’orientation sont connues. Mais on n’a pas besoin de se référer à ces calculs ou empilement de calculs de M. Leplat pour les constater. Les archéologues vont s’appuyer sur les données de terrain : textes, objets rituels ou astrologiques, traditions. Par exemple, les archéologues et les historiens savent bien que les églises chrétiennes du Moyen âge sont orientées, c’est-à-dire qu’elles sont axées vers l’Orient, l’est [38]. Cette mise en place, volontaire, est connue par les textes canoniques, comme chez Basile de Césarée qui évoque que l’est et le lever du Soleil rappellent la résurrection du Christ [39]. Cette orientation est également, dès le IVe siècle, marquée par une croix [40]. C’est aussi le cas des mosquées, dont le mur principal est orienté en direction de La Mecque. Ainsi, la question des orientations des bâtiments religieux est étudiée par les archéologues et les historiens. Mais cette étude est fondée sur des sources solides, écrites ou archéologiques, et répond à des problématiques religieuses ou rituelles. De même, le fait que les bergeries et les maisons du Midi voient leur mur nord aveugle est étudié par les archéologues et compris comme une volonté de se protéger du vent. Ainsi, ce n’est pas en se fondant uniquement sur des constructions mathématiques hasardeuses que les archéologues comprennent l’orientation des bâtiments, mais en se fondant sur l’étude des sociétés et de leur fonctionnement. De plus, l’archéoastronomie tente d’apporter des réponses sur le rapport des sociétés anciennes au ciel et de comprendre si ce rapport influence leurs rituels, leurs constructions ou leur système de pensée. De même, l’archéogéographie, un autre champ récent de l’archéologie, étudie le rapport des sociétés à l’espace, montrant, par exemple, comment des terroirs protohistoriques se maintiennent pendant des millénaires [41]. En revanche, l’astro-géométrie n’apporte rien.

Ainsi, nous voyons que le nouveau champ d’étude que M. Leplat tente de mettre en avant est en réalité ancien ; en effet, il s’appuie sur des travaux de la fin du XIXe siècle, alors même que l’archéologie a, depuis, renouvelé ses champs, ses méthodes et ses objets. De plus, comme nous l’avons vu, ce champ développé par M. Leplat ne permet que de dégager des listes de chiffres jugés remarquables, mais qui n’ont rien de signifiant. Enfin, nous avons que la méthode de M. Leplat n’a pas d’intérêt car, elle n’apporte rien par rapport aux études déjà menées en histoire et en archéologie sur l’orientation ou la disposition des structures.

Car, dans cette vidéo, M. Leplat ne nous montre que sa méthodologie, mais ne nous explique pas réellement ce que cela apporte. Nous comprenons par d’autres vidéos que pour cet auteur, ces rapports géométriques cacheraient des savoirs anciens. Mais, il faudrait croire sur parole M. Leplat que les vagues occurrences seraient significatives. Il semble que nous avons, avec la méthode développée dans cette vidéo, un empilement numérologique sans signification. De ce fait, cette vidéo ne convainc pas et ne permet pas de montrer que l’astro-géométrie est un champ valable pour l’étude des sociétés du passé.