Luis Castaño Sanchez, linguiste de formation [1], met en avant une nouvelle hypothèse en métrologie historique : les mesures antiques et médiévales sont anthropométriques, elles sont issues d’un modèle humain de 180 cm, modèle qui s’est conservé dans le temps, et ces mesures sont toutes reliées entre elles par des rapports métrologiques. Cette hypothèse prétend révolutionner la métrologie historique [2]. Il appuie cette affirmation par un argument d’autorité sans cesse répété : cela fait plus de dix ans qu’il travaille sur le sujet. Mais travailler durant une très longue période sur un sujet ne garantit pas l’exactitude de l’hypothèse posée.
Luis Castaño m’a contacté afin de présenter ses hypothèses, notamment par rapport à celles avancées par Quentin Leplat. J’ai beaucoup échangé avec lui, surtout en 2019 et en 2020. Je lui avais alors indiqué que le modèle de l’homme de 180 cm ne reposait sur aucun document et aucune source, et que l’idée d’une permanence du modèle ou des mesures issues de l’Égypte antique, passant par les mondes grec et romain et se poursuivant au Moyen Âge, n’était pas fondée. Nous lui avions dit oralement que cette proposition confinait à de la pseudo-science.
Dès 2021, je me suis éloigné de Luis Castaño et de son raisonnement. Je l’ai pourtant – à tort – défendu lorsqu’un article a été publié sur Academia montrant les faiblesses de son raisonnement, son manque de source et ses méthodes ; sous la pression de monsieur Castaño, cet article a été retiré. J’aurais dû être plus attentif, car cet article pointait le manque de scientificité de la méthode de monsieur Castaño.
Il avait présenté ses hypothèses sur la chaine YouTube Passé recomposé le 7 novembre 2019 et sur la chaine Histoire de Pyramides le 27 mars 2023 [3]. Lors de ces deux interventions, j’ai noté que les incohérences du raisonnement de monsieur Castaño n’avaient pas été corrigées et que, au contraire, il s’enfonçait dans une démarche de pseudo-archéologue.
Lorsque nous avons hérité de la chaine Passé Recomposé, j’ai décidé d’emblée d’invisibiliser l’interview de monsieur Castaño, car elle ne correspond pas à la mission de l’ALDHHAA, qui consiste à lutter contre la désinformation historique. Cette décision est éditoriale. Elle n’a pas lieu d’être discutée.
Monsieur Castaño m’a dès lors invectivé en estimant que je n’avais pas le droit de la rendre invisible. Je lui ai donc indiqué que cette décision est éditoriale, et qu’elle m’incombe. Monsieur Castaño a commencé à me bombarder de messages, auxquels j’ai fini par ne plus répondre. Puis, il a porté plainte contre moi auprès du comité d’éthique de mon université. Une telle démarche est très incongrue, car on en appelle au comité d’éthique pour des plagiats ou des tromperies manifestes, pas pour des différents scientifiques. Si le comité estime que j’aurais dû prévenir monsieur Castaño du retrait de sa vidéo, il indique qu’il n’y a pas de « véritable atteinte à l’intégrité scientifique ». Le comité ne me blâme pas, ni ne poursuit son enquête ; il me demande de publier une réfutation des travaux de monsieur Castaño, sans m’imposer de délai. De plus, monsieur Castaño a omis de mentionner dans sa plainte que lors de nombreux entretiens et conversations que nous avons eus, je lui avais dit que deux des éléments principaux de son raisonnement ne tiennent pas. Monsieur Castaño était parfaitement au courant de nos désaccords.
Depuis, sur presque chacune des interventions que je fais sur les réseaux sociaux, monsieur Castaño vient me harceler et recopier les mêmes invectives. Il vient prendre à partie les personnes qui répondent ou me suivent. Cette tendance confine à l’obsession.
La métrologie historique est l’étude des systèmes de métrologie anciens. Elle a longtemps été marquée par des débats stériles autour de la valeur exacte des étalons. Ce champ de recherche est entré en désuétude à la fin du XIXe siècle. Dans les années 1970, la métrologie historique est redevenue un champ de recherche actif, dans la suite de l’histoire économique, de l’histoire sérielle et de l’histoire des techniques [4]. Ainsi, en 1975, un Comité pour la métrologie historique (CIHM) est fondé [5]. Ce qui est mal connu, c’est la structure de ces systèmes métrologiques que l’on cherche à comprendre [6]. Une des difficultés que les chercheurs en métrologie mettent en avant, c’est le manque de relations évidentes entre les différentes mesures dans les systèmes prémétriques [7]. Cette relation peut ne pas être métrique, mais sociale, économique ou politique [8]. Un système de mesure est avant tout une convention et une manière pratique d’échanger ou de compter [9]. Il est à noter que monsieur Castaño ne présente jamais une historiographie de la métrologie historique, il se contente de citer quelques auteurs, tels que Gaetano de Sanctis ou Witold Kula, alors qu’un état de l’art est nécessaire pour mettre en avant une démarche scientifique, surtout cherchant à révolutionner la discipline [10].
Rappelons que l’hypothèse de monsieur Castaño repose sur trois éléments centraux : mesures anthropométriques qui se maintiennent dans le temps et qui viennent d’un modèle humain de 180 cm. Si une seule de ces propositions est fausse, l’ensemble du raisonnement de monsieur Castaño devient invalide, car chacune de ces propositions est liée.
Que les mesures anciennes soient anthropométriques, c’est presque vrai. En effet, la plupart des mesures dans les systèmes anciens - en Égypte, en Mésopotamie, en Grèce ou à Rome - utilisent des mesures issues du corps humain, comme le pied ou la coudée. Il existe cependant des exceptions. Plusieurs unités de longueur sont issues d’objets, tel que le cordeau ou la canne pour les mesures de taille, ou l’aune pour le tissu [11]. Du coup, si, en effet, une partie des mesures est prise sur des parties du corps, ce n’est pas le cas de toutes, ce qui fragilise d’emblée l’hypothèse de monsieur Castaño.
Le second point de monsieur Castaño, c’est celui de la transmission des mesures ou des systèmes de mesure dans le temps. À ma connaissance, monsieur Castaño n’a jamais réellement démontré la validité de cette hypothèse, se contentant de quelques exemples. Les métrologues historiques ont montré qu’il n’y pas de coïncidence entre les systèmes de mesure égyptien et mésopotamien [12]. Ensuite, les chercheurs en métrologie insistent sur la rupture entre les mesures antiques et les mesures médiévales, ainsi que sur la variété et la volatilité de ces dernières [13]. L’instabilité de ces mesures est liée, notamment, à la multiplication des pouvoirs. Petit à petit, certains d’entre eux, les plus importants, parviennent à stabiliser leurs étalons et certaines puissances économiques les imposent dans un espace qui dépasse leur propre zone de contrôle.
Luis Castaño semble parfois emprunter des hypothèses anciennes, comme celle de Pierre-Simon Girard, ingénieur des Ponts et Chaussées, qui s’est rendu en Égypte lors de l’expédition de Bonaparte en Égypte. Il estime, sans aucune source, que les Hébreux ont repris les mesures égyptiennes [14]. Lorsque l’ingénieur écrit au début du XIXe siècle, il ne dispose de rien pour comprendre les relations entre l’Égypte et la Judée. En revanche, pétri de la pensée des Lumières et des réformes de la Révolution, ainsi que du récit de l’Exode, il estime qu’une mesure de la coudée naturelle s’est mise en place dans le monde : celle des Égyptiens, à sept palmes. Or, les travaux récents sur le monde hébreux ont remis en cause ce lien de filiation entre l’administration égyptienne et celle des royaumes de Judée, même si la référence égyptienne est présente dans la monumentalité [15].
Depuis les écrits de Girard, les études ont montré que le système métrique égyptien reste cantonné à l’Égypte ancienne et ne se diffuse ni dans les cités grecques, ni dans le monde romain. Par exemple, une des principales mesures égyptiennes, représentée et retrouvée en fouille chez les Égyptiens, est la coudée ; c’est elle qui est retrouvée dans les tombes. Mais, chez les Romains, la mesure commune la plus fréquente est le pied. De plus, chez les Romains, cette mesure a une taille variable selon les régions. Encore, les mesures grecques et romaines tendent à se fonder sur des sous-multiples de douze ou de seize, ce qui n’est pas le cas du monde égyptien [16].
Il est donc déjà difficile de relier les mesures antiques entre elles. Il faudrait ajouter que les cités grecques et hellénistiques, les villes puniques ou le monde perse emploient chacun des systèmes de mesures différents. Donc, en imaginant qu’en effet, les mesures antiques sont toutes liées à un modèle humain, au vu de leurs différences, cela voudrait dire qu’il y a plusieurs modèles humains. Si, déjà, les mesures égyptiennes ne sont pas transmises aux autres systèmes de mesure antiques, on comprend mal comment l’hypothèse de monsieur Castaño peut tenir.
Quand on en vient aux mesures médiévales, le problème est encore plus grand. Chaque état, voire chaque province, va se servir de son propre système de mesure. Les Carolingiens tentent bien, au début du IXe siècle, de normaliser les mesures, mais sans succès [17]. Mais, pire encore, il existe en parallèle, dans un même état, plusieurs mesures de longueurs, chacune pour un type de matériel. Ainsi, si la construction se sert fréquemment du pied, de la canne et de la toise, l’industrie textile se sert de l’aune. Et ni l’aune, ni la canne ne proviennent d’une partie du corps. De nouveau, la différence entre ces mesures rend impossible un lien entre elles. Monsieur Castaño évoque des liens, çà et là, de mesures avec un système anthropométrique, mais écarte les autres systèmes. On est ici dans du cherry picking (cueillette de cerises).
Prenons un exemple qui contredit l’hypothèse de monsieur Castaño : la canne. Cette mesure sert pour les bâtiments, qui entrent donc dans le champ de l’hypothèse de monsieur Castaño [18]. Mais la canne varie entre 180 cm et 200 cm et ne s’appuie pas sur une donnée anthropomorphique. L’existence de la canne montre qu’il ne prend pas en compte les données qui ne vont pas dans le sens de ses conclusions. C’est, de nouveau, du cherry picking, un biais classique des pseudo-scientifiques. C’est là que l’hypothèse de monsieur Castaño est très faible. Car, sans cette continuité des mesures à travers le temps, comment expliquer qu’elles conservent le même modèle ?
Cette faiblesse est renforcée par l’argument du modèle (patron en espagnol) de 180 cm. Selon monsieur Castaño, ce modèle de 180 cm est présent dans l’Homme de Vitruve. Le dessin est réalisé vers 1492 et conservé à Venise [19].
Il représente des proportions idéales que l’architecte latin Vitruve a indiqué dans De Architectura, livre III, chapitre 1. C’est le plus ancien traité d’architecture conservé [20]. Ce passage évoque la proportion que doit avoir un temple parfait ; le titre est Unde symmetriae fuerint ad aedes sacras translatae [21]. Le terme de symmetria est un emprunt au grec et signifie « bonne harmonie » ou « bonne proportion » entre la taille et la forme. L’architecte romain poursuit son explication en indiquant que les meilleures proportions sont celles du corps humain, et qu’elles doivent s’appliquer aux proportions d’un temple. Si, dans le cinquième paragraphe, Vitruve parle de mesures, il n’en donne jamais les détails. Il parle bien de proportion. On ne voit donc pas d’où monsieur Castaño voit dans le texte de Vitruve la taille idéale de l’homme. Pour lui, il faut chercher dans la représentation du dessin de Léonard de Vinci. Rappelons que ce dessin mesure environ 34,4 cm sur 24,5 cm. S’appuyant sur le fait que la tête mesure un dixième du corps, monsieur Castaño, muni d’une règle, trouve 1,8 cm ; donc, le corps proportionné atteint 18 cm. Et donc, l’Homme de Vitruve mesurerait 180 cm. Son raisonnement est ici très spécieux et ne prend pas en compte nombre de problèmes ; le premier, et pas des moindres, c’est que le dessin de Léonard de Vinci serait au dixième du modèle de Vitruve. Or, aucune source ne le précise. On est ici, chez monsieur Castaño, dans l’affabulation.
L’autre preuve est que, selon lui, la mesure de 180 cm nait en Égypte et se diffuse dans le monde.
Il s’appuie notamment sur une mention de Pierre-Simon Girard qui aurait découvert le modèle humain de 180 cm. Ce dernier se rend à Syène, nom grec d’Assouan, et étudie notamment les marques et les mesures du nilomètre. Il publie un « Mémoire sur le nilomètre de l’île d’Éléphantine et les mesures égyptiennes » [22]. Une partie est dédiée à celles-ci [23]. Il faut rappeler que Pierre-Simon Girard ne lit pas les hiéroglyphes et donc que les sources dont il dispose sont ses observations matérielles ainsi que les textes des auteurs qui écrivent en latin et en grec, tels Hérodote, Strabon ou Vitruve. À partir de la section deux, le savant français commence à exposer ses observations sur les mesures égyptiennes. D’emblée, il indique que les coudées observées dans le nilomètre de l’île d’Éléphantine sont notées en grec et que l’on peut penser « que ces coudées sont elles-mêmes d’origine grecque et qu’elles ont été introduites sous les Ptolémée [24] ».
Girard reprend l’idée assez répandue au XVIIIe siècle que les proportions humaines ont été très étudiées par les Anciens et que pour eux, la coudée naturelle se situe comme étant la quatrième partie de la hauteur du corps. Il reprend cette donnée de Vitruve (livre III, 1), créant ainsi un raisonnement circulaire [25]. De là, c’est en partant de la coudée utilisée dans le nilomètre d’Éléphantine - qu’il a calculée à 527 mm (52,7 cm) -, qu’il en déduit donc que l’homme, dont est issue cette coudée, mesure plus de deux mètres (2108 mm, c’est-à-dire un peu plus de deux mètres et dix centimètres [26]). Déjà, cette hypothèse est inductive et se fonde sur la coudée nilométrique d’Assouan ; c’est donc du cherry picking. Mais, Pierre-Simon Girard estime que cela ferait un homme trop grand. Alors il réduit chaque coudée d’une palme, ce qui permet d’avoir des coudées de 450 mm, et donc un homme de 180 cm (quatre fois 450 mm), créant un biais de confirmation. Donc, cherry picking et biais de confirmation de la part de Girard pour trouver cet homme de 180 cm. Et Luis Castaño y ajoute son propre biais de confirmation en invoquant Girard pour affirmer son hypothèse. Notre pseudo-métrologue cherche donc à démontrer que les mesures sont issues d’un modèle anthropologique de 180 cm, en partant d’une donnée biaisée.
Monsieur Castaño cherche ensuite toutes les données qui confirment son postulat, écartant les autres. Ainsi, il évoque en soutien de son hypothèse une des mesures égyptiennes, appelée « la brasse », correspondant à dix-huit poings, faisant environ 180 cm, qu’il prend chez Erik Iversen et chez Aude Gros de Beller [27]. Il oublie que cette mesure est issue du système oncial, qui n’est pas le système de mesure principal de l’Égypte ancienne. Par ailleurs, tous les auteurs travaillant sur les mesures égyptiennes ne la prennent pas en considération [28]. La brasse semble plutôt appartenir au système grec sous la forme de l’Orgyia, décrite notamment par Richard Lepsius [29]. On est ici, à nouveau, dans du cherry picking. Là encore, monsieur Castaño prend ce qui l’arrange, en partant d’une donnée biaisée : celle de Girard.
J’ai longtemps parlé à monsieur Castaño de l’extrême faiblesse des deux éléments de son hypothèse, à savoir la stabilité des mesures et le modèle de l’homme de 180 cm. Je lui ai envoyé également de nombreuses études sur les mesures. En effet, une des caractéristiques de la recherche, c’est de s’appuyer sur tous les travaux et donner des raisons solides de ne pas les prendre en compte. Ces ouvrages ne sont pas inconnus de monsieur Castaño, mais, dans son orgueil, il les rejette, car, ils ne prennent pas en considération son hypothèse d’homme de 180 cm [30]. Or, ici monsieur Castaño met en place un raisonnement circulaire : « j’affirme que les mesures sont fondées sur le modèle d’un homme de 180 cm ; toutes les études qui disent le contraire sont incorrectes et je les écarte ; donc, mon hypothèse est la seule valable ». On est ici dans un des biais de confirmation. Mais, si ces ouvrages ne prennent pas en compte l’hypothèse de monsieur Castaño, c’est qu’elle n’apparaît pas dans les sources. Mais, pour monsieur Castaño, c’est que tous les chercheurs se trompent mais que lui, a raison. Simplement, si ces ouvrages ne prennent pas en considération le postulat de monsieur Castaño, c’est probablement, comme je l’ai montré ici, que ce dernier n’est pas valable.
De fait, son hypothèse ne tient pas. Les mesures anciennes, si elles sont en grande partie anthropométriques, ne le sont pas toutes ; elles ne sont pas stables dans le temps et ne se fondent pas sur le même modèle. Et surtout, que ce dernier soit fondé sur un homme de 180 cm ne repose sur rien, puisque Vitruve ne parle pas de taille, mais de proportion. S’il faut considérer que le dessin de Léonard de Vinci représente un tel homme, alors que l’approche ne parle que des proportions humaines, et que Léonard de Vinci en a fait un modèle au dixième, alors on est dans une hypothèse non-démontrée. En réalité, pour essayer de démontrer son hypothèse, monsieur Castaño use de biais de pseudo-chercheur : cherry-picking, biais de confirmation, refus des études actuelles, noyage de poisson, surinterprétation. Monsieur Castaño entend révolutionner la métrologie historique. Il ne fait que construire un raisonnement tronqué et inutile.
Philipp Kitcher définit la pseudo-science sur trois critères : problématique mal définie, épistémologie bancale et non-dialogue avec la recherche contemporaine. Si la problématique est à peu près définie – l’étude de l’évolution des mesures dans le temps -, les deux autres points sont très problématiques. Du point de vue épistémologique, il étudie la métrologie en restant dans les paradigmes du XIXe siècle, celle de la recherche de la taille exacte des étalons, sans jamais se pencher sur les évolutions de sa discipline. De plus, monsieur Castaño n’interroge jamais l’évolution de la métrologie historique et ne dialogue pas avec les autres chercheurs de sa discipline ; pire, il les rejette. Ainsi, les travaux de métrologie récents, ceux de monsieur Hocquet ou de monsieur Guerreau, sont d’emblée ignorés ; les travaux d’Iversen ou d’Aude Gros de Beller sont surinterprétés. Enfin, il part de son interprétation du dessin de Léonard de Vinci, de la fin du XVe siècle, pour estimer que les systèmes de mesure en sont issus ; c’est un raisonnement téléologique.
Si les travaux de monsieur Castaño étaient si révolutionnaires, pourquoi n’a-t-il pas été invité par le CIMH afin de les présenter ?
Monsieur Castaño est donc bien un pseudo-chercheur, tant il s’éloigne des méthodes scientifiques.
Je remercie Newton 404, Histoire de Pyramides, El Coyote et En avant les histoires pour leur relecture et leur soutien. Je tiens également à rappeler et à remercier Aurélien, qui est parmi les premiers à avoir vu les errements pseudo-scientifiques de monsieur Castaño.

